Il était une fois...
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Little Hachi
Mediwest
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Il était une fois...
On va s'amuser a raconter des histoires vrais ou fausses, si possible qui font peur!!
Je commence !!
Cette histoire se déroule tout près de Marseille, à la Ciotat...
Une voiture roule à toute allure sur une petite route de campagne, quand tout d'un coup, c'est l'accident.
Encore sous le choc, l'homme releva la tête et aperçut les pahres d'une voiture non loin de l'endroit où leur véhicule s'était immobilisé. Il demanda à sa femme de l'attendre, qu'il allait revenir dans peu de temps. La femme, pas rassurée, regarda son mari s'éloigner, et ferma la voiture à clef.
Tout d'un coup, la lumière de l'automobile d'en face s'éteignirent. Une silhouette s'approcha, et la femme, pensant que c'était son mari, courut au devant de lui. Lorsqu'elle put le distinguer, elle poussa un cri, et l'homme en face d'elle lui dit d'une voix qui se voulait rassurante :
"N'ayez pas peur, madame, je voulais juste savoir si ceci vous appartenait." Et, levant la main droite, il exhiba la tête ensanglantée de son mari
Je commence !!
Cette histoire se déroule tout près de Marseille, à la Ciotat...
Une voiture roule à toute allure sur une petite route de campagne, quand tout d'un coup, c'est l'accident.
Encore sous le choc, l'homme releva la tête et aperçut les pahres d'une voiture non loin de l'endroit où leur véhicule s'était immobilisé. Il demanda à sa femme de l'attendre, qu'il allait revenir dans peu de temps. La femme, pas rassurée, regarda son mari s'éloigner, et ferma la voiture à clef.
Tout d'un coup, la lumière de l'automobile d'en face s'éteignirent. Une silhouette s'approcha, et la femme, pensant que c'était son mari, courut au devant de lui. Lorsqu'elle put le distinguer, elle poussa un cri, et l'homme en face d'elle lui dit d'une voix qui se voulait rassurante :
"N'ayez pas peur, madame, je voulais juste savoir si ceci vous appartenait." Et, levant la main droite, il exhiba la tête ensanglantée de son mari
Mediwest- Ta gueule!! Je t'aime!!
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Localisation : sous le soleil des antilles
Date d'inscription : 31/08/2006
Re: Il était une fois...
C'est obligatoire que ce soit une histoire inventé? parce que j'en étudie une en francais et je la trouve trop bien! Je peux la publier?
Little Hachi- Membre
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Re: Il était une fois...
Non c'est pas obligé
Mediwest- Ta gueule!! Je t'aime!!
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Localisation : sous le soleil des antilles
Date d'inscription : 31/08/2006
Re: Il était une fois...
Bon bah je publie "le portrait ovale" d'edgard Allan poe. C'est un peu long (la nouvelle entiere) mais j'aime trop! bonne (re)découverte!
Le château dans lequel mon domestique s’était avisé de pénétrer de force, plutôt que de me permettre, déplorablement blessé comme je l’étais, de passer une nuit en plein air, était un de ces bâtiments, mélange de grandeur et de mélancolie, qui ont si longtemps dressé leurs fronts sourcilleux au milieu des Apennins, aussi bien dans la réalité que dans l’imagination de mistress Radcliffe. Selon toute apparence, il avait été temporairement et tout récemment abandonné. Nous nous installâmes dans une des chambres les plus petites et les moins somptueusement meublées. Elle était située dans une tour écartée du bâtiment. Sa décoration était riche, mais antique et délabrée. Les murs étaient tendus de tapisseries et décorés de nombreux trophées héraldiques de toute forme, ainsi que d’une quantité vraiment prodigieuse de peintures modernes, pleines de style, dans de riches cadres d’or d’un goût arabesque. Je pris un profond intérêt, ce fut peut-être mon délire qui commençait qui en fut cause, je pris un profond intérêt à ces peintures qui étaient suspendues non seulement sur les faces principales des murs, mais aussi dans une foule de recoins que la bizarre architecture du château rendait inévitables ; si bien que j’ordonnai à Pedro de fermer les lourds volets de la chambre, puisqu’il faisait déjà nuit, d’allumer un grand candélabre à plusieurs branches placé près de son chevet, et d’ouvrir tout grands les rideaux de velours noir garnis de crépines qui entouraient le lit. Je désirais que cela fût ainsi, pour que je pusse au moins, si je ne pouvais pas dormir, me consoler alternativement par la contemplation de ces peintures et par la lecture d’un petit volume que j’avais trouvé sur l’oreiller et qui en contenait l’appréciation et l’analyse.
Je lus longtemps, longtemps ; je contemplai religieusement, dévotement ; les heures s’envolèrent rapides et glorieuses, et le profond minuit arriva. La position du candélabre me déplaisait, et, étendant la main avec difficulté pour ne pas déranger mon valet assoupi, je plaçai l’objet de manière à jeter les rayons en plein sur le livre.
Mais l’action produisit un effet absolument inattendu. Les rayons des nombreuses bougies (car il y en avait beaucoup) tombèrent alors sur une niche de la chambre que l’une des colonnes du lit avait jusque-là couverte d’une ombre profonde. J’aperçus dans une vive lumière une peinture qui m’avait d’abord échappé. C’était le portrait d’une jeune fille déjà mûrissante et presque femme. Je jetai sur la peinture un coup d’oeil rapide, et je fermai les yeux. Pourquoi, je ne le compris pas bien moi-même tout d’abord. Mais pendant que mes paupières restaient closes, j’analysai rapidement la raison qui me les faisait fermer ainsi. C’était un mouvement involontaire pour gagner du temps et pour penser, pour m’assurer que ma vue ne m’avait pas trompé, pour calmer et préparer mon esprit à une contemplation plus froide et plus sûre. Au bout de quelques instants, je regardai de nouveau la peinture fixement.
Je ne pouvais pas douter, quand même je l’aurais voulu, que je n’y visse alors très nettement ; car le premier éclair du flambeau sur cette toile avait dissipé la stupeur rêveuse dont mes sens étaient possédés, et m’avait rappelé tout d’un coup à la vie réelle.
Le portrait, je l’ai déjà dit, était celui d’une jeune fille. C’était une simple tête, avec des épaules, le tout dans ce style qu’on appelle en langage technique, style de *vignette* ; beaucoup de la manière de Sully dans ses têtes de prédilection. Les bras, le sein, et même les bouts des cheveux rayonnants, se fondaient insaisissablement dans l’ombre vague mais profonde qui servait de fond à l’ensemble. Le cadre était ovale, magnifiquement doré et guilloché dans le goût moresque. Comme oeuvre d’art, on ne pouvait rien trouver de plus admirable que la peinture elle-même. Mais il se peut bien que ce ne fût ni l’exécution de l’oeuvre, ni l’immortelle beauté de la physionomie, qui m’impressionna si soudainement et si fortement. Encore moins devais-je croire que mon imagination, sortant d’un demi-sommeil, eût pris la tête pour celle d’une personne vivante. Je vis tout d’abord que les détails du dessin, le style de vignette, et l’aspect du cadre auraient immédiatement dissipé un pareil charme, et m’auraient préservé de toute illusion même momentanée. Tout en faisant ces réflexions, et très vivement, je restai, à demi étendu, à demi assis, une heure entière peut-être, les yeux rivés à ce portrait. A la longue, ayant découvert le vrai secret de son effet, je me laissai retomber sur le lit. J’avais deviné que le *charme* de la peinture était une expression vitale absolument adéquate à la vie elle- même, qui d’abord m’avait fait tressaillir, et finalement m’avait confondu, subjugué, épouvanté. Avec une terreur profonde et respectueuse, je replaçai le candélabre dans sa position première. Ayant ainsi dérobé à ma vue la cause de ma profonde agitation, je cherchai vivement le volume qui contenait l’analyse des tableaux et leur histoire. Allant droit au numéro qui désignait le portrait ovale, j’y lus le vague et singulier récit qui suit :
« C’était une jeune fille d’une très rare beauté, et qui n’était pas moins aimable que pleine de gaieté. Et maudite fut l’heure où elle vit, et aima, et épousa le peintre. Lui, passionné, studieux, austère, et ayant déjà trouvé une épouse dans son Art ; elle, une jeune fille d’une très rare beauté, et non moins aimable que pleine de gaieté : rien que lumière et sourires, et la folâtrerie d’un jeune faon ; aimant et chérissant toutes choses ; ne haïssant que l’Art qui était son rival ; ne redoutant que la palette et les brosses, et les autres instruments fâcheux qui la privaient de la figure de son adoré. Ce fut une terrible chose pour cette dame que d’entendre le peintre parler du désir de peindre même sa jeune épouse. Mais elle était humble et obéissante, et elle s’assit avec douceur pendant de longues semaines dans la sombre et haute chambre de la tour, où la lumière filtrait sur la pâle toile seulement par le plafond. Mais lui, le peintre, mettait sa gloire dans son oeuvre, qui avançait d’heure en heure et de jour en jour. Et c’était un homme passionné, et étrange, et pensif, qui se perdait en rêveries ; si bien qu’il ne *voulait* pas voir que la lumière qui tombait si lugubrement dans cette tour isolée desséchait la santé et les esprits de sa femme, qui languissait visiblement pour tout le monde, excepté pour lui. Cependant elle souriait toujours, et toujours, sans se plaindre, parce qu’elle voyait que le peintre (qui avait un grand renom) prenait un plaisir vif et brûlant dans sa tâche, et travaillait nuit et jour pour peindre celle qui l’aimait si fort, mais qui devenait de jour en jour plus languissante et plus faible. Et en vérité, ceux qui contemplaient le portrait parlaient à voix basse de sa ressemblance, comme d’une puissante merveille et comme d’une preuve non moins grande de la puissance du peintre que de son profond amour pour celle qu’il peignait si miraculeusement bien. Mais à la longue, comme la besogne approchait de sa fin, personne ne fut plus admis dans la tour ; car le peintre était devenu fou par l’ardeur de son travail, et il détournait rarement ses yeux de la toile, même pour regarder la figure de sa femme. Et il ne *voulait* pas voir que les couleurs qu’il étalait sur la toile étaient *tirées* des joues de celle qui était assise près de lui. Et quand bien des semaines furent passées, et qu’il ne restait plus que peu de chose à faire, rien qu’une touche sur la bouche et un glacis sur l’oeil, l’esprit de la dame palpita encore comme la flamme dans le bec d’une lampe. Et alors la touche fut donnée, et alors le glacis fut placé ; et pendant un moment le peintre se tint en extase devant le travail qu’il avait travaillé ; mais une minute après, comme il contemplait encore, il trembla, et il devint très pâle, et il fut frappé d’effroi ; et criant d’une voix éclatante : en vérité c’est la *Vie* elle-même ! Il se retourna brusquement pour regarder sa bien-aimée ; elle était morte ! »
Le château dans lequel mon domestique s’était avisé de pénétrer de force, plutôt que de me permettre, déplorablement blessé comme je l’étais, de passer une nuit en plein air, était un de ces bâtiments, mélange de grandeur et de mélancolie, qui ont si longtemps dressé leurs fronts sourcilleux au milieu des Apennins, aussi bien dans la réalité que dans l’imagination de mistress Radcliffe. Selon toute apparence, il avait été temporairement et tout récemment abandonné. Nous nous installâmes dans une des chambres les plus petites et les moins somptueusement meublées. Elle était située dans une tour écartée du bâtiment. Sa décoration était riche, mais antique et délabrée. Les murs étaient tendus de tapisseries et décorés de nombreux trophées héraldiques de toute forme, ainsi que d’une quantité vraiment prodigieuse de peintures modernes, pleines de style, dans de riches cadres d’or d’un goût arabesque. Je pris un profond intérêt, ce fut peut-être mon délire qui commençait qui en fut cause, je pris un profond intérêt à ces peintures qui étaient suspendues non seulement sur les faces principales des murs, mais aussi dans une foule de recoins que la bizarre architecture du château rendait inévitables ; si bien que j’ordonnai à Pedro de fermer les lourds volets de la chambre, puisqu’il faisait déjà nuit, d’allumer un grand candélabre à plusieurs branches placé près de son chevet, et d’ouvrir tout grands les rideaux de velours noir garnis de crépines qui entouraient le lit. Je désirais que cela fût ainsi, pour que je pusse au moins, si je ne pouvais pas dormir, me consoler alternativement par la contemplation de ces peintures et par la lecture d’un petit volume que j’avais trouvé sur l’oreiller et qui en contenait l’appréciation et l’analyse.
Je lus longtemps, longtemps ; je contemplai religieusement, dévotement ; les heures s’envolèrent rapides et glorieuses, et le profond minuit arriva. La position du candélabre me déplaisait, et, étendant la main avec difficulté pour ne pas déranger mon valet assoupi, je plaçai l’objet de manière à jeter les rayons en plein sur le livre.
Mais l’action produisit un effet absolument inattendu. Les rayons des nombreuses bougies (car il y en avait beaucoup) tombèrent alors sur une niche de la chambre que l’une des colonnes du lit avait jusque-là couverte d’une ombre profonde. J’aperçus dans une vive lumière une peinture qui m’avait d’abord échappé. C’était le portrait d’une jeune fille déjà mûrissante et presque femme. Je jetai sur la peinture un coup d’oeil rapide, et je fermai les yeux. Pourquoi, je ne le compris pas bien moi-même tout d’abord. Mais pendant que mes paupières restaient closes, j’analysai rapidement la raison qui me les faisait fermer ainsi. C’était un mouvement involontaire pour gagner du temps et pour penser, pour m’assurer que ma vue ne m’avait pas trompé, pour calmer et préparer mon esprit à une contemplation plus froide et plus sûre. Au bout de quelques instants, je regardai de nouveau la peinture fixement.
Je ne pouvais pas douter, quand même je l’aurais voulu, que je n’y visse alors très nettement ; car le premier éclair du flambeau sur cette toile avait dissipé la stupeur rêveuse dont mes sens étaient possédés, et m’avait rappelé tout d’un coup à la vie réelle.
Le portrait, je l’ai déjà dit, était celui d’une jeune fille. C’était une simple tête, avec des épaules, le tout dans ce style qu’on appelle en langage technique, style de *vignette* ; beaucoup de la manière de Sully dans ses têtes de prédilection. Les bras, le sein, et même les bouts des cheveux rayonnants, se fondaient insaisissablement dans l’ombre vague mais profonde qui servait de fond à l’ensemble. Le cadre était ovale, magnifiquement doré et guilloché dans le goût moresque. Comme oeuvre d’art, on ne pouvait rien trouver de plus admirable que la peinture elle-même. Mais il se peut bien que ce ne fût ni l’exécution de l’oeuvre, ni l’immortelle beauté de la physionomie, qui m’impressionna si soudainement et si fortement. Encore moins devais-je croire que mon imagination, sortant d’un demi-sommeil, eût pris la tête pour celle d’une personne vivante. Je vis tout d’abord que les détails du dessin, le style de vignette, et l’aspect du cadre auraient immédiatement dissipé un pareil charme, et m’auraient préservé de toute illusion même momentanée. Tout en faisant ces réflexions, et très vivement, je restai, à demi étendu, à demi assis, une heure entière peut-être, les yeux rivés à ce portrait. A la longue, ayant découvert le vrai secret de son effet, je me laissai retomber sur le lit. J’avais deviné que le *charme* de la peinture était une expression vitale absolument adéquate à la vie elle- même, qui d’abord m’avait fait tressaillir, et finalement m’avait confondu, subjugué, épouvanté. Avec une terreur profonde et respectueuse, je replaçai le candélabre dans sa position première. Ayant ainsi dérobé à ma vue la cause de ma profonde agitation, je cherchai vivement le volume qui contenait l’analyse des tableaux et leur histoire. Allant droit au numéro qui désignait le portrait ovale, j’y lus le vague et singulier récit qui suit :
« C’était une jeune fille d’une très rare beauté, et qui n’était pas moins aimable que pleine de gaieté. Et maudite fut l’heure où elle vit, et aima, et épousa le peintre. Lui, passionné, studieux, austère, et ayant déjà trouvé une épouse dans son Art ; elle, une jeune fille d’une très rare beauté, et non moins aimable que pleine de gaieté : rien que lumière et sourires, et la folâtrerie d’un jeune faon ; aimant et chérissant toutes choses ; ne haïssant que l’Art qui était son rival ; ne redoutant que la palette et les brosses, et les autres instruments fâcheux qui la privaient de la figure de son adoré. Ce fut une terrible chose pour cette dame que d’entendre le peintre parler du désir de peindre même sa jeune épouse. Mais elle était humble et obéissante, et elle s’assit avec douceur pendant de longues semaines dans la sombre et haute chambre de la tour, où la lumière filtrait sur la pâle toile seulement par le plafond. Mais lui, le peintre, mettait sa gloire dans son oeuvre, qui avançait d’heure en heure et de jour en jour. Et c’était un homme passionné, et étrange, et pensif, qui se perdait en rêveries ; si bien qu’il ne *voulait* pas voir que la lumière qui tombait si lugubrement dans cette tour isolée desséchait la santé et les esprits de sa femme, qui languissait visiblement pour tout le monde, excepté pour lui. Cependant elle souriait toujours, et toujours, sans se plaindre, parce qu’elle voyait que le peintre (qui avait un grand renom) prenait un plaisir vif et brûlant dans sa tâche, et travaillait nuit et jour pour peindre celle qui l’aimait si fort, mais qui devenait de jour en jour plus languissante et plus faible. Et en vérité, ceux qui contemplaient le portrait parlaient à voix basse de sa ressemblance, comme d’une puissante merveille et comme d’une preuve non moins grande de la puissance du peintre que de son profond amour pour celle qu’il peignait si miraculeusement bien. Mais à la longue, comme la besogne approchait de sa fin, personne ne fut plus admis dans la tour ; car le peintre était devenu fou par l’ardeur de son travail, et il détournait rarement ses yeux de la toile, même pour regarder la figure de sa femme. Et il ne *voulait* pas voir que les couleurs qu’il étalait sur la toile étaient *tirées* des joues de celle qui était assise près de lui. Et quand bien des semaines furent passées, et qu’il ne restait plus que peu de chose à faire, rien qu’une touche sur la bouche et un glacis sur l’oeil, l’esprit de la dame palpita encore comme la flamme dans le bec d’une lampe. Et alors la touche fut donnée, et alors le glacis fut placé ; et pendant un moment le peintre se tint en extase devant le travail qu’il avait travaillé ; mais une minute après, comme il contemplait encore, il trembla, et il devint très pâle, et il fut frappé d’effroi ; et criant d’une voix éclatante : en vérité c’est la *Vie* elle-même ! Il se retourna brusquement pour regarder sa bien-aimée ; elle était morte ! »
Little Hachi- Membre
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Date d'inscription : 30/08/2006
Re: Il était une fois...
oulala c'est clair que c'est long
heureusement que j'avais lu toutes les nouvelles d'edgard allan poe à l'école mais bon c'est ieux tout ça
heureusement que j'avais lu toutes les nouvelles d'edgard allan poe à l'école mais bon c'est ieux tout ça
Mediwest- Ta gueule!! Je t'aime!!
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Re: Il était une fois...
Voui voui, c'est long ce bazar mais tellemnt bien!
ViVe EdGaRd AlLaN PoE!!!!!
Little Hachi- Membre
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Date d'inscription : 30/08/2006
Re: Il était une fois...
Une jeune femme d'environ 25 ans vivait seule dans une petite maison. Vers 22 heures, comme à l'habitude, elle alla s'asseoir devant sa télé (qui était devant une grande fenêtre) pour écouter les nouvelles.
L'annonceur dit ceci: " Avis à tous! Un terrible voleur rôde dans les environs. Il a déjà cambrioler et tuer 3 personnes. Ne laissez personne entrer chez vous, en aucun cas!"
À ce moment, la femme regarda dehors...et vit le tueur en question!!! Une lueur meurtrière luisait de l'homme.
Paniquée, elle appela la police qui lui dit de s'enfermer au 2e étage et ne pas en sortir. Elle s'exécuta et attendit. Une dizaine de minute plus tard, la police défonça la porte. La femme descendit en courant...et vit que tout avait été volé! Les meubles, la télé...
C'est alors qu'elle comprit: pendant tout ce temps, le meurtrier était à l'intérieur. En fait, elle avait vu son reflet dans la fenêtre, tandis qu'il était juste derrière elle!
L'annonceur dit ceci: " Avis à tous! Un terrible voleur rôde dans les environs. Il a déjà cambrioler et tuer 3 personnes. Ne laissez personne entrer chez vous, en aucun cas!"
À ce moment, la femme regarda dehors...et vit le tueur en question!!! Une lueur meurtrière luisait de l'homme.
Paniquée, elle appela la police qui lui dit de s'enfermer au 2e étage et ne pas en sortir. Elle s'exécuta et attendit. Une dizaine de minute plus tard, la police défonça la porte. La femme descendit en courant...et vit que tout avait été volé! Les meubles, la télé...
C'est alors qu'elle comprit: pendant tout ce temps, le meurtrier était à l'intérieur. En fait, elle avait vu son reflet dans la fenêtre, tandis qu'il était juste derrière elle!
Mediwest- Ta gueule!! Je t'aime!!
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Date d'inscription : 31/08/2006
Re: Il était une fois...
Moi j'avais commencer à écrire un roman il y a quelque temps mais j'ai arreter faute de motivation et de temps, j'pourrais toujours vous le mettre mais y a que le début ^^
Re: Il était une fois...
mediwest tes histoire commence a me faire peur lol j'arrete pas de me retourné pour regarder derrière moi jdevien trop parano la lol (oui chui peureuse je sais !!! ^^)
Re: Il était une fois...
Encor une nanass
J'ai acheter il y a déjà quelques années un buffet ancien dans une brocante. J'ai été très attirer par ce meuble. Je l'ai trouvé tout de suite très beau. Deux grandes colonnes avec vitrines et miroirs dans le haut ainsi qu'au milieu du buffet une grande glace. Parfois dans la maison j'entendais des bruits curieux qui m'ont apparus très normales : la maison venait à peine d'étre achevée. Des apparitions d'ombres très rapide apparaissaient assez souvent et d'autres petites choses. J'en avais pas peur, cela faisait parti de mon quotidien.
En changeant récemment de maison je pensai que tout allez rentrer dans l'ordre. C'est en prenant des photos pour des fêtes d'anniversaires qu'une ombre est apparue dans le coin d'une vitre. C'est alors que j'ai regardé de plus près les autres photos. Il s'est avéré que presque toutes les photos prises devant le buffet, apparaisaient dans les miroirs plusieurs personnes qui me semblent ne plus appartenir à notre monde des vivants. Bizard ou curieux, mais un autre monde apparait dans le miroir.
J'ai fait plusieurs autres photos en photographiant seulement le buffet et il s'avère que la réalité est bien là. Il semble parfois que ces personnes ont envie que je les photographies.
pis encor une en faite
C'est un couple qui rentre un soir tard de chez des amis. Ils rentrent chez eux, avec aux moins 150 bornes de trajet. Ils traversent une immense foret quand tout a coup ils aperçoivent une voiture arrêtée au bord de la route.
En temps normal, ils ne se seraient certainement pas arrêté, mais la, une petite fille pleure a coté. Ils s'arrêtent donc et demandent ce qui se passe a la fille.
Elle montre la voiture en pleurant: les parents constatent avec effrois que deux personnes sont égorgées a l'intérieur.
Ils en concluent que ses parents on été assassinés et qu'il n'est vraiment pas prudent de rester ici. Ils prennent la petite fille dans leur voiture et filent au poste le plus proche ...30 km... Le mari roule a tout allure.
Tout a coup, il tourne la tête, et aperçoit sa femme, les yeux dans le vide, la bouche ouverte et la gorge tranchée...il regarde dans le rétroviseur et voit la petite fille léchant un couteau plein de sang......
J'ai acheter il y a déjà quelques années un buffet ancien dans une brocante. J'ai été très attirer par ce meuble. Je l'ai trouvé tout de suite très beau. Deux grandes colonnes avec vitrines et miroirs dans le haut ainsi qu'au milieu du buffet une grande glace. Parfois dans la maison j'entendais des bruits curieux qui m'ont apparus très normales : la maison venait à peine d'étre achevée. Des apparitions d'ombres très rapide apparaissaient assez souvent et d'autres petites choses. J'en avais pas peur, cela faisait parti de mon quotidien.
En changeant récemment de maison je pensai que tout allez rentrer dans l'ordre. C'est en prenant des photos pour des fêtes d'anniversaires qu'une ombre est apparue dans le coin d'une vitre. C'est alors que j'ai regardé de plus près les autres photos. Il s'est avéré que presque toutes les photos prises devant le buffet, apparaisaient dans les miroirs plusieurs personnes qui me semblent ne plus appartenir à notre monde des vivants. Bizard ou curieux, mais un autre monde apparait dans le miroir.
J'ai fait plusieurs autres photos en photographiant seulement le buffet et il s'avère que la réalité est bien là. Il semble parfois que ces personnes ont envie que je les photographies.
pis encor une en faite
C'est un couple qui rentre un soir tard de chez des amis. Ils rentrent chez eux, avec aux moins 150 bornes de trajet. Ils traversent une immense foret quand tout a coup ils aperçoivent une voiture arrêtée au bord de la route.
En temps normal, ils ne se seraient certainement pas arrêté, mais la, une petite fille pleure a coté. Ils s'arrêtent donc et demandent ce qui se passe a la fille.
Elle montre la voiture en pleurant: les parents constatent avec effrois que deux personnes sont égorgées a l'intérieur.
Ils en concluent que ses parents on été assassinés et qu'il n'est vraiment pas prudent de rester ici. Ils prennent la petite fille dans leur voiture et filent au poste le plus proche ...30 km... Le mari roule a tout allure.
Tout a coup, il tourne la tête, et aperçoit sa femme, les yeux dans le vide, la bouche ouverte et la gorge tranchée...il regarde dans le rétroviseur et voit la petite fille léchant un couteau plein de sang......
Mediwest- Ta gueule!! Je t'aime!!
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Re: Il était une fois...
Voila alors je met le début d'une histoire que j'ai commencé à écrire il y a pas mal de temps..
Elle se sait traquée.
Elle continue de courir tout en jetant des coups d’œil furtif derrière elle. Soudain un bruit sourd émane de sa gauche.
Elle s’arrête pour écouter. Rien. Elle regarde autour d’elle. Personne.
Elle voit au loin le bout de la ruelle. Elle lui semble être à des kilomètres.
« Mais pourquoi a-t-il fait ça ? Il a tué Sam, j’en suis sûre »
Elle recommence à courir, bien décidée à quitter cette sombre ruelle, pour enfin déboucher sur la West Street ; là où il y aura des gens qui pourront sûrement l’aider.
« Trouver quelqu’un ! Il faut que je trouve quelqu’un ! Prévenir aussi la Police ! Ma pauvre Kelly. Dans quel merdier tu t’es encore fourrée ? »
Kelly Morgan est une fille sans histoire, originaire de l’Ohio. Ca ne fait pas longtemps qu’elle habite à Portland. Elle est arrivée depuis quatre mois, afin de pouvoir poursuivre ces études dans l’architecture. Comparé à Desmoines, son petit village natal, Portland est le style de ville où elle aurait aimé vivre. Une grande métropole de plus de 500 000 habitants, une ville où on s’ennuie rarement, où toutes les fantaisies sont permises… Elle lui semblait être une ville idéale pour entamer une vie sans les restrictions parentales.
Agée de 21 ans, Kelly est une fille qui veut réussir dans ses études, mais elle veut aussi s’amuser et elle ne s’en prive pas. Avec sa copine de classe, Samantha, elles écument les boîtes de nuit de la ville, bien décidées à en profiter comme il se doit. Sam est plutôt extravertie, toujours à la recherche de sensations fortes, à la limite de la raison…
Ce soir-là, les limites sont dépassées… Après les cours, elles avaient décidé d’aller boire un verre ou deux dans un bar où elles n’avaient encore jamais mis les pieds.
Le Warrior’s Bar. Un bar peu fréquentable. C’est là qu’elles l’avaient rencontré. Il leur avait dis qu’il s’appelait Viktor et qu’il les avait vues à la sortie de l’école d’architecture.
« Je viens d’arriver en ville, et je ne connais pas grand monde. Je me suis permis de vous offrir un verre pour que l’on puisse faire un peu connaissance… » leur avait-il dis.
« Il a un drôle d’accent, s’était dit Sam. Il doit avoir du sang noble ou quelque chose comme ça… En tout cas, il vient vraiment de débarquer, c’est certain »
Puis ils avaient commencé à boire. Un, puis deux, puis trois et enfin une bouteille entière de Whisky. Si elles avaient été un peu observatrices, Kelly et Sam auraient remarqué qu’elles seules finissaient leur verre. Viktor n’a fait que tremper les lèvres.
« Il est un peu pâlichon, avait remarqué Kelly. Dans un sens, le soleil est assez rare dans la région. Et c’est peut être parce que j’ai un peu trop bu, avait-elle objecté, lorsqu’elle avait vu deux Viktor parfaitement symétriques. »
Après environ une heure, elles avaient décidé qu’il fallait quand même rentrer. Viktor avait tout bonnement accepté de faire un bout de chemin avec ces demoiselles.
« Je ne voudrais vraiment pas qu’il vous arrive quelque chose de fâcheux, leur avait-il confié avec son léger accent. »
Le cerveau embué par l’alcool, Kelly et Sam n’avaient pas remarqué l’étrange lueur avide qui s’était allumée dans le regard de Viktor.
« Je crois que je vais vomir, avait lancé Sam, quelques minutes après leur départ. »
Toujours gentleman, Viktor avait proposé de la soutenir. Kelly acquiesça sans mal, ne se sentant pas non plus au mieux de sa forme. Sam et lui avaient bifurqué dans un coin d’une ruelle afin que Sam puisse satisfaire la révulsion de son estomac.
C’est là que le cauchemar avait commencé.
Kelly avait entendu le cri étouffé de Sam, puis le bruit mât d’un corps qui tombe. Le temps d’arriver sur place et c’était déjà trop tard. Samantha gisait par terre autour d’une marre de sang. Il n’y avait aucune trace de Viktor ; c’est comme s’il s’était évaporé.
« Ce n’est pas vrai ? Dites-moi que je rêve ! »
Elle avait senti ses muscles se raidirent lorsqu’elle avait senti une présence derrière elle.
Faisant volte-face, elle se trouvait nez à nez avec le meurtrier présumé de son amie.
Elle avait réussi à esquiver maladroitement la tentative de Viktor de se saisir d’elle, puis en avait profité pour s’enfuir en courant. Il était derrière ses talons, elle en avait la conviction.
« Ma pauvre Kelly. Dans quel merdier tu t’es encore fourrée ? »
Kelly est maintenant complètement dessoûlée. Son instinct de survie a pris le dessus.
Il ne lui reste plus que quelques mètres avant de pouvoir atteindre la West Street.
« Il se rapproche ! J’en suis sûre ! »
Elle commis l’erreur de regarder derrière son épaule, sans quoi elle aurait vu le sac poubelle qui traînait au milieu de la rue.
Elle tombe. Cela lui semble durer une éternité. Kelly a l’impression d’être dans un rêve. Un cauchemar pour être plus exact. Elle n’entend plus rien, elle ne sent plus rien. Elle entrevoie le ciel, essaye de prier Dieu, mais rien ne lui vient à l’esprit. On aurait dis que le ciel lourd et menaçant l’avait éclipsé pendant un temps, l’empêchant d’écouter les prières de ses disciples.
La violence de l’impact la ramène dans la réalité. Le bitume lui écorche les paumes des mains ainsi que les genoux de son jeans. Elle sent le goût cuivré du sang dans sa bouche.
Un poids vient lui écraser la colonne vertébrale. Viktor. Elle tente en vain de se dégager, mais il est plus fort qu’elle, beaucoup plus fort. Certains de ses ongles s’arrachent de ses doigts alors qu’elle s’accroche au sol pour tenter de s’extirper de son agresseur.
Le sang coule pour la deuxième fois cette nuit.
Alors qu’un éclair traverse le ciel, l’ultime cri de Kelly Morgan est noyé par le coup de tonnerre qui suit.
Elle se sait traquée.
Elle continue de courir tout en jetant des coups d’œil furtif derrière elle. Soudain un bruit sourd émane de sa gauche.
Elle s’arrête pour écouter. Rien. Elle regarde autour d’elle. Personne.
Elle voit au loin le bout de la ruelle. Elle lui semble être à des kilomètres.
« Mais pourquoi a-t-il fait ça ? Il a tué Sam, j’en suis sûre »
Elle recommence à courir, bien décidée à quitter cette sombre ruelle, pour enfin déboucher sur la West Street ; là où il y aura des gens qui pourront sûrement l’aider.
« Trouver quelqu’un ! Il faut que je trouve quelqu’un ! Prévenir aussi la Police ! Ma pauvre Kelly. Dans quel merdier tu t’es encore fourrée ? »
Kelly Morgan est une fille sans histoire, originaire de l’Ohio. Ca ne fait pas longtemps qu’elle habite à Portland. Elle est arrivée depuis quatre mois, afin de pouvoir poursuivre ces études dans l’architecture. Comparé à Desmoines, son petit village natal, Portland est le style de ville où elle aurait aimé vivre. Une grande métropole de plus de 500 000 habitants, une ville où on s’ennuie rarement, où toutes les fantaisies sont permises… Elle lui semblait être une ville idéale pour entamer une vie sans les restrictions parentales.
Agée de 21 ans, Kelly est une fille qui veut réussir dans ses études, mais elle veut aussi s’amuser et elle ne s’en prive pas. Avec sa copine de classe, Samantha, elles écument les boîtes de nuit de la ville, bien décidées à en profiter comme il se doit. Sam est plutôt extravertie, toujours à la recherche de sensations fortes, à la limite de la raison…
Ce soir-là, les limites sont dépassées… Après les cours, elles avaient décidé d’aller boire un verre ou deux dans un bar où elles n’avaient encore jamais mis les pieds.
Le Warrior’s Bar. Un bar peu fréquentable. C’est là qu’elles l’avaient rencontré. Il leur avait dis qu’il s’appelait Viktor et qu’il les avait vues à la sortie de l’école d’architecture.
« Je viens d’arriver en ville, et je ne connais pas grand monde. Je me suis permis de vous offrir un verre pour que l’on puisse faire un peu connaissance… » leur avait-il dis.
« Il a un drôle d’accent, s’était dit Sam. Il doit avoir du sang noble ou quelque chose comme ça… En tout cas, il vient vraiment de débarquer, c’est certain »
Puis ils avaient commencé à boire. Un, puis deux, puis trois et enfin une bouteille entière de Whisky. Si elles avaient été un peu observatrices, Kelly et Sam auraient remarqué qu’elles seules finissaient leur verre. Viktor n’a fait que tremper les lèvres.
« Il est un peu pâlichon, avait remarqué Kelly. Dans un sens, le soleil est assez rare dans la région. Et c’est peut être parce que j’ai un peu trop bu, avait-elle objecté, lorsqu’elle avait vu deux Viktor parfaitement symétriques. »
Après environ une heure, elles avaient décidé qu’il fallait quand même rentrer. Viktor avait tout bonnement accepté de faire un bout de chemin avec ces demoiselles.
« Je ne voudrais vraiment pas qu’il vous arrive quelque chose de fâcheux, leur avait-il confié avec son léger accent. »
Le cerveau embué par l’alcool, Kelly et Sam n’avaient pas remarqué l’étrange lueur avide qui s’était allumée dans le regard de Viktor.
« Je crois que je vais vomir, avait lancé Sam, quelques minutes après leur départ. »
Toujours gentleman, Viktor avait proposé de la soutenir. Kelly acquiesça sans mal, ne se sentant pas non plus au mieux de sa forme. Sam et lui avaient bifurqué dans un coin d’une ruelle afin que Sam puisse satisfaire la révulsion de son estomac.
C’est là que le cauchemar avait commencé.
Kelly avait entendu le cri étouffé de Sam, puis le bruit mât d’un corps qui tombe. Le temps d’arriver sur place et c’était déjà trop tard. Samantha gisait par terre autour d’une marre de sang. Il n’y avait aucune trace de Viktor ; c’est comme s’il s’était évaporé.
« Ce n’est pas vrai ? Dites-moi que je rêve ! »
Elle avait senti ses muscles se raidirent lorsqu’elle avait senti une présence derrière elle.
Faisant volte-face, elle se trouvait nez à nez avec le meurtrier présumé de son amie.
Elle avait réussi à esquiver maladroitement la tentative de Viktor de se saisir d’elle, puis en avait profité pour s’enfuir en courant. Il était derrière ses talons, elle en avait la conviction.
« Ma pauvre Kelly. Dans quel merdier tu t’es encore fourrée ? »
Kelly est maintenant complètement dessoûlée. Son instinct de survie a pris le dessus.
Il ne lui reste plus que quelques mètres avant de pouvoir atteindre la West Street.
« Il se rapproche ! J’en suis sûre ! »
Elle commis l’erreur de regarder derrière son épaule, sans quoi elle aurait vu le sac poubelle qui traînait au milieu de la rue.
Elle tombe. Cela lui semble durer une éternité. Kelly a l’impression d’être dans un rêve. Un cauchemar pour être plus exact. Elle n’entend plus rien, elle ne sent plus rien. Elle entrevoie le ciel, essaye de prier Dieu, mais rien ne lui vient à l’esprit. On aurait dis que le ciel lourd et menaçant l’avait éclipsé pendant un temps, l’empêchant d’écouter les prières de ses disciples.
La violence de l’impact la ramène dans la réalité. Le bitume lui écorche les paumes des mains ainsi que les genoux de son jeans. Elle sent le goût cuivré du sang dans sa bouche.
Un poids vient lui écraser la colonne vertébrale. Viktor. Elle tente en vain de se dégager, mais il est plus fort qu’elle, beaucoup plus fort. Certains de ses ongles s’arrachent de ses doigts alors qu’elle s’accroche au sol pour tenter de s’extirper de son agresseur.
Le sang coule pour la deuxième fois cette nuit.
Alors qu’un éclair traverse le ciel, l’ultime cri de Kelly Morgan est noyé par le coup de tonnerre qui suit.
Re: Il était une fois...
Chouuuuuuuk faut finir ton histoire sto plai sto plai g t a fond dedans.Elle est trop bien ce n'est qu'un debut certes mais c'est un de ces debuts qui font que t'arrive pas a te sortir du livre tant que tu connais pas la fin
Mediwest- Ta gueule!! Je t'aime!!
-
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Re: Il était une fois...
Peut-être qu'elle est déjà finie non? Je sais pas, je la perçois comme une nouvelle, non?
Miss Rueda- P'tit Nouveau
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Re: Il était une fois...
Bé non en fait c'était un roman a l'origine... que j'ai jamais fini, j'avais entamé le premier chapitre mais bon je sais pas si je vais le mettre étant donné que je l'ai pas fini
Re: Il était une fois...
ste plait mets la suiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiite
Mediwest- Ta gueule!! Je t'aime!!
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Re: Il était une fois...
Chouk!!!! C'est vraiment tres bien ton histoire! Chui fan!! Un autographe!! lol:boulet:
Bon sinon, pour ceux qui sont allez sur mon blog, il connaisse ce que je vais publier. Pour les autres dites moi ce que vous en pensez!
PROLOGUE
Asuka observait attentivemant le reflet de la lune qui éclairait l'endroit où elle s'était réfugiée. Cette lueure blanchâtre s'étalait dans toute la pièce. Elle illuminait le sol, cependant, Asuka préferait rester dans l'obsucurité. Elle ne voulait pas être vue sachant ce qui allait se passer à l'exterieur. elle connaissait si bien Shuro. Il lui avait dit que si elle osait encore parler à Manato, il brulerait la maison de ce dernier. Elle savait très bien qu'il pourrait le faire. Sa maison n'était pas grande et son toit était de chaume, elle brulerait rapidement sans laisser aux habitants le temps d'aller chercher de l'eau. Ce serait si simple de tuer Manato et ses parents. Asuka s'avait que cet incendie était pévu pour ce soir, et elle s'était cachée en attendant le moment idéal où elle pourrait prévenir Manato.
Elle resta longtemps assise, contemplant ce reflet de lune. Il éclairait les pierres sur le sol de la grotte. Cette cachette était confortable, malgrès les rochers dont elle était composée. Asuka aimait cet endroit, elle avait construit, a l'aide de bois et de ficelle, une sorte de petite commode avec trois tirroirs et une étagères. Elle y rangeait les objets qui lui étaient cher et toutes les petites choses qu'elle trouvait par terre. Manato lui aviat souvent répété que cela ne lui servait à rien de conserver des petits objets sans importance. Elle, elle y tenait à ces "objets sans importance".
Quand le bruit dehors diminua, elle décida d'aller prévenir Manato de l'arrivée proche de Shuro. Elle arriva devant la petite batisse. Elle frappa à la porte mais personne ne répondit. Elle recommença, en vain. Des larmes commencèrent à couler sur son visage, à moitier cacher pas ses longs cheveux noirs. Manato devait se réveiller, Shuro allait arriver et mettre le feu à sa maison. Elle devait le réveiller. Au bout du chemin qui conduisait chez Manato, Asuka vit Shuro arriver. Elle frappa de toutes ses forces à la porte. Enfin, quelqu'un ouvrit:
- Qu'est ce qu'il y a? Ne voyez vous donc pas que nous dormons... Ah Asuka, c'est toi? Que fait tu dehors a une heure aussi tardive? Viens, entre à ....
-Monsieur Sudô, il faut que vous partiez d'ici! Un homme va mettre le feu à votre maison!
-Que dis-tu? C'est impossible voyons, calme toi....
- Ecoutez moi! Il sera là d'un instant à l'autre! S'il vous plait...
Asuka pleurait désormais à grosse larmes. Elle montra à M.Sudô l'homme qui arrivait et celui ci le reconnut immédiatement. Il prévint sa femme et tout les deuxpartirent acompagnés d'Asuka.
-Attendez, et Manato? Où est-il? demanda Asuka d'une voix inquiète.
-Il n'était pas à la maison ce soir, je pensait même qu'il serait avec toi, répondit Mme Sudô.
-Avec moi? Mince, j'avais totalement oublié! Veuillez m'exuser, mais c'est ici que je vous quitte. Ne vous inquiétez pas, Shuro aura ce qu'il mérite! Au revoir!
-Au revoir Asuka, répondirent d'une même voix M et Mme Sudô.
Asuka avait fait demi-tour et désormais elle courrait à toute allure. Comment avait-elle pu oublier l'anniversaire de Manato? Quand elle arriva à leur lieu de rendez vous, un lac où personne ne venait plus, Manato était là. Assis sur un rocher, il contemplait le paysage qui se dréssait devant lui. Il se retourna brusquement lorsqu'il entendit Asuka murmurer son nom.
-J'ai bien cru que tu n'allais pas venir...lui dit-il d'un air moqueur.
-Exuse moi, Shuro voulait...
-Bruler ma maison, c'est ça? coupa Manato. Je sais, il le dit tout le temps mais ne le fait jamais. Tu devrais arréter de croire ce que ton frère raconte. Il ne dit jamais la vérité.
-Mais qu'est-ce que je vais faire? J'ai prévenu tes parents et ils sont partis. Ils vont croire que je leur ai fait une plaisanterie de mauvais gout! Il vont m'en vouloir...
-Non, ne t'inquiètes pas Asuka, tu n'as que onze ans après tout, répondit Manato avec un tont railleur.
-Arrètes de te moquer de moi! Tu n'as que deux ans de plus que moi! Tu n'es pas plus intélligent que moi! Et je suis sure que tu aurais cru Shuro... répondit Asuka, visiblement véxée.
-Je ne t'en veux pas, ne t'inquiètes pas, dit Manato qui ne voulait pas se disputer avec Asuka. bon, c'est quoi mon cadeau d'anniversaire? J'espère que ça va me plaire!
-C'est ça, lui dit Asuka.
Elle se rapprocha de Manato et déposa sur ses lèvres un baiser tendre qui les réchauffa tout les deux. Après un instant, Asuka se retira et Manato ne pu dire qu'un mot: "Merci"
CHAPITRE 1
-Asuka! Je t'interdis de le voir! Tu n'as pas le droit!
-Comment ça "je n'ai pas le droit"? J'ai presque 16 ans! Tu ne peux plus faire de moi ce que tu veux. C'est fini, je ne crois plus à tes mensonges Shuro, j'ai passé l'age!
-Je t'interdis de le voir, sinon...
-Sinon, quoi? Tu bruleras sa maison? J'en ai assez!
Sur ces mots, Asuka tourna le dos à son frere Shuro et partit en prenant bien soin de claquer la porte derrière elle. Elle resta assise sur son lit pendant un long moment. Elle était si énervée qu'elle n'arrivait même pas à pleurer. Elle ne pouvait s'empécher de penser à Setsuna et à ce qu'elle lui avait dit.
-Je pense que Manato est amoureux de toi, lui confia-t-elle.
-Qu'est-ce que tu racontes? répondit Asuka apparemment très génée. C'est impossible, nous sommes des amis d'enfance, il... non c'est impossible!
-Mais il m'a dit que vous vous étiez déjà embrasser, réenchérie Setsuna.
-C'était il y a quatre ans, je n'était qu'une enfant et puis... et puis c'est tout!
-Si tu le dis, mais tu devrais quand même lui en parler, écoute moi, ta meilleure amie!
Asuka brulait d'envie de savoir si Manato éprouvait des sentiments spéciaux à son égard. Mais elle ne pourrait jamais lui demander, il se moquerait d'elle. elle même ne savait plus ce qu'elle éprouvait pour lui. Il y avait seulement quelques jours, l'amité les unissait, mais aujourd'hui, quelle était leur relation.? Elle aurait tout le temps de lui poser la question demain, pres du lac. Ce même lac où elle avait, il y a quatre ans, embrassé Manato. Après ce baiser, elle éclata de rire en voyant son meilleur ami devenir rouge écarlate. Aujourd'hui encore, à chaque fois qu'on le lui demandait, il répondait que son plus beau cadeau lui avait été offeryt près d'un lac, il y a quatre ans. On avait beau insister, il ne révélait jamais ce que c'était et qui lui avait offert. Il voulut offrir à Asuka le même cadeau qu'il avait recu de sa part, mais il n'y parvint jamais, la trouvant trop jeune pour cela. Elle avait à présent 15 ans et était dotée d'une beautée banale mais exeptionnelle aux yeux de Manato. Elle avait des cheveux long, noirs et de grands yeux vert. C'était peut etre là son charme. Elle était asez petite par rapport à lui mais elle, cela ne la dérangeait pas. Manato, du haut de ses 16 ans et demi, était grand, brun et avait les yeux bleu ciel. Toutes les filles de son lycée étaient secretement éprisent de lui. Asuka et lui n'allaient pas dans le même lycée. Manato était dans un lycée publique: il n'avait pas les moyens d'aller ailleurs. Asuka, elle, était inscrite dans un lycée privé pour jeune fille. Elle venait d'une famille très aisée. C'est pour cela que Shuro ne voulait pas la voir en compagnie de Manato: ils n'étaient pas du "même monde". Elle voyait donc Manato en cachette, près du lac. Ni son frere, ni ses parents étaient au courant.
On frappa à la porte.
-Asuka? C'est moi, je peux entrer? demanda Shuro.
-Non, vas-t-en! Je ne veux pas te voir, c'est compris?
-Mais...
-C'est compris? cria Asuka!
Shuro donna un violent coup dans la porte et s'éloigna. S'il y avait bien une personne qu'elle ne voulait absolument pas voir, c'était bien Shuro...
Le lendemain matin, Asuka se réveilla tôt. Elle avait mal dormit et était fatiguée. Elle descndit prendre son petit déjeuner, ne pouvant plus dormir. A son grand étonnement, son père était là.
-Papa! s'écria-t-elle. Que fais tu là?
-Bonjour ma princesse, comment vas tu? Shuro n'est pas à la maison?
A l'écoute du nom de son frere, Asuka fit une grimmace. Elle aurait voulut qu'il ne soit pas là.
- Sa va bien merci. Shuro doit encore dormir, cela ne m'étonnerait pas. Il est si...
-Stop!coupa son père. Tu t'es enncore disputée avec lui, n'est ce pas?
- Oui, avoua Asuka. Mais c'est lui! Il ne veut pas que je vois Manato, il n'a pas le droit de me l'interdire! J'ai presque 16ans!
-En parlant de Manato, commenca son pere, Shuro a raison. Tu ne devrait pas le fréquenter. Tu sais vous n'ètes pas du meme milieu. Vous ne pouvez pas vous permettre...
-Toi aussi tu t'y met? coupa sechement Asuka. Je pensais que tu étais plus indulgent. Tu sais Manato et moi ne sommes pas du meme mileu et alors? Tu ne peux pas...
-Je t'interdis de le voir! cria son pere. Les gens comme lui ne sont pas dignes de confiance. Des aujourd'hui tu vas arreter de le fréquenter et tu verras des personnes de ton milieu. Est-ce clair?
-Mais Papa, tu ne peux pas me forcer!
-Est-ce clair? hurla son pere.
-Je te deteste! Tu n'es qu'un pauvre monstre sans coeur! cria Asuka dont les larmes ruisselaient sur son visage.
Elle quitta la pièce en courant. Elle entendait son pere lui crier des choses mais elle n'arrivait pas à les entendre. Elle compris quelques mots comme "le fils du roi", "marige" et "traitre". Elle se rua à l'exterieur. Un soleil radieux était déjà levé. La matinée avait déjà bien commencé. Elle courrut longtemps, ne croisant personne sur son chemin. Quand elle arriva pres du lac, il n'y avait personne. Elle aurait voulut que Manato soit là. Ce n'était pas le cas. Elle s'arretta et resta immobile sur un rocher au bord de l'eau. elle en voulait à son pere. Il ne voulait plus qu'elle voit Manato. son pere était le consultant du rooi du pays. Il été admiré de tous. Asuka pensait qu'il la comprendrait mais ce n'était pas le cas. Il était de l'avis de Shuro. Elle ne s'était jamais disputée de cette façon avec son pere. Elle ne pouvait pas rentrer à la maison maintenat, elle était encore trop énervée.
-Que fais-tu là? lui demanda une voix familiere.
Asuka sursauta. Devant elle se tenait Manato. Il était si grand, elle ne s'en était jamais apercu de cette facon. Il lui souriait et elle, elle ne pouvait s'empécher de pleurer. Il s'approcha d'elle et vit alors ses larmes. son sourir devint alors réconfortant, il s'assit alors sur le rocher sur lequel Asuka été assise. Il ne savait pas ce qu'il devait dire. Il la prit dans ses bras et les sanglots de son amie ne firent que redoubler. Elle pleurait à cause de son pere, de Shuro et aussi à cause d'elle meme. Elle se sentait si faible dans les bras de Manato. Ils resterent ainsi longtemps. Soudain, Asuka se défit de l'étreinte de Manato et pris la parole.
-On ne peux plus se voir, lui dit-ele, la voix tramblante. Je suis désolée.
-Qu'est ce que tu racontes? Que se passe-t-il? répondit Manato, inquiet.
-Mon pere ne veut plus que l'on se voit. Il veut que j'épouse le fils...du roi.
Elle se remit à pleurer. Manato le reprit alors dans ses bras. il ne pouvait pas croire qu' Asuka allait se marier avec Takeshi. Il était si... diférent de lui.
-Ne t'inquietes pas, dit Manato qui voulait réconforter Asuka. Ni ton pere, ni Shuro ni qui que se soit ne pourra m'empécher de te voir. Tu ne dois pas t'en faire.
-Il veut que je l'épouse, sanglota Asuka. Mais moi, je ne veux pas. Je ne veux épouser personne. Je...
Manato l'embrassa. Elle se sentit alors rassurée. Elle voulait rester comme ça le plus longtemps possible. Un feu doux brulait dans son ventre. Elle n'aurait voulu qu'il ne s'érretes pour rien au monde. Elle était paisible dans ses bras. Les levres de Manato sur les siennes étaient douces et agréables. Asuka avait perdue tous ses reperes. Elle oublia son pere, Shuro, Takeshi. Il ne restait plus qu'elle et celui qui l'embrassait. Puis Manato se leva brusquement.
-Je suis désolé, lui dit-il. Il faut que... il faut que j'y aille.
Il commença a faire demi-tour. Asuka se leva à son tour et murmura d'une voix quasi-innaudible: "reste". Manato se retourna et regarda Asuka. Elle avait tellement changé. Elle était si... belle aujourd'hui. Elle avait beau pleurer, Manato la trouvait résplandissante.
Ils resterent silencieux un long moment. Asuka décida enfin à prendre la parole.
-Setsuna disait donc vrai, tu épprouves des sentiments differents à mon égar. Je crois qu emoi aussi.
- Mais on ne peux pas Asuka, interrompit Manato. Tu n'as pas le droit de me voir et tu es déstinée à épouser Takeshi. Ton pere a peut-etre raison, on ne devrait peut-etre plus se voir.
-Quoi? Mais c'est absurde Manato! Je te connais depuis que j'ai 7 ans, on ne peux pas ne plus se voir! Je refuse de faire cette concéssion!
-Tu devrais pourtant accepter, répondit la voix d'un homme. C'est ce qu'il y a de mieux pour toi.
Elle se retourna et sursauta. Devant elle se tenait Takeshi.
Voila! je suis en train d'écrire la suite....
Bon sinon, pour ceux qui sont allez sur mon blog, il connaisse ce que je vais publier. Pour les autres dites moi ce que vous en pensez!
PROLOGUE
Asuka observait attentivemant le reflet de la lune qui éclairait l'endroit où elle s'était réfugiée. Cette lueure blanchâtre s'étalait dans toute la pièce. Elle illuminait le sol, cependant, Asuka préferait rester dans l'obsucurité. Elle ne voulait pas être vue sachant ce qui allait se passer à l'exterieur. elle connaissait si bien Shuro. Il lui avait dit que si elle osait encore parler à Manato, il brulerait la maison de ce dernier. Elle savait très bien qu'il pourrait le faire. Sa maison n'était pas grande et son toit était de chaume, elle brulerait rapidement sans laisser aux habitants le temps d'aller chercher de l'eau. Ce serait si simple de tuer Manato et ses parents. Asuka s'avait que cet incendie était pévu pour ce soir, et elle s'était cachée en attendant le moment idéal où elle pourrait prévenir Manato.
Elle resta longtemps assise, contemplant ce reflet de lune. Il éclairait les pierres sur le sol de la grotte. Cette cachette était confortable, malgrès les rochers dont elle était composée. Asuka aimait cet endroit, elle avait construit, a l'aide de bois et de ficelle, une sorte de petite commode avec trois tirroirs et une étagères. Elle y rangeait les objets qui lui étaient cher et toutes les petites choses qu'elle trouvait par terre. Manato lui aviat souvent répété que cela ne lui servait à rien de conserver des petits objets sans importance. Elle, elle y tenait à ces "objets sans importance".
Quand le bruit dehors diminua, elle décida d'aller prévenir Manato de l'arrivée proche de Shuro. Elle arriva devant la petite batisse. Elle frappa à la porte mais personne ne répondit. Elle recommença, en vain. Des larmes commencèrent à couler sur son visage, à moitier cacher pas ses longs cheveux noirs. Manato devait se réveiller, Shuro allait arriver et mettre le feu à sa maison. Elle devait le réveiller. Au bout du chemin qui conduisait chez Manato, Asuka vit Shuro arriver. Elle frappa de toutes ses forces à la porte. Enfin, quelqu'un ouvrit:
- Qu'est ce qu'il y a? Ne voyez vous donc pas que nous dormons... Ah Asuka, c'est toi? Que fait tu dehors a une heure aussi tardive? Viens, entre à ....
-Monsieur Sudô, il faut que vous partiez d'ici! Un homme va mettre le feu à votre maison!
-Que dis-tu? C'est impossible voyons, calme toi....
- Ecoutez moi! Il sera là d'un instant à l'autre! S'il vous plait...
Asuka pleurait désormais à grosse larmes. Elle montra à M.Sudô l'homme qui arrivait et celui ci le reconnut immédiatement. Il prévint sa femme et tout les deuxpartirent acompagnés d'Asuka.
-Attendez, et Manato? Où est-il? demanda Asuka d'une voix inquiète.
-Il n'était pas à la maison ce soir, je pensait même qu'il serait avec toi, répondit Mme Sudô.
-Avec moi? Mince, j'avais totalement oublié! Veuillez m'exuser, mais c'est ici que je vous quitte. Ne vous inquiétez pas, Shuro aura ce qu'il mérite! Au revoir!
-Au revoir Asuka, répondirent d'une même voix M et Mme Sudô.
Asuka avait fait demi-tour et désormais elle courrait à toute allure. Comment avait-elle pu oublier l'anniversaire de Manato? Quand elle arriva à leur lieu de rendez vous, un lac où personne ne venait plus, Manato était là. Assis sur un rocher, il contemplait le paysage qui se dréssait devant lui. Il se retourna brusquement lorsqu'il entendit Asuka murmurer son nom.
-J'ai bien cru que tu n'allais pas venir...lui dit-il d'un air moqueur.
-Exuse moi, Shuro voulait...
-Bruler ma maison, c'est ça? coupa Manato. Je sais, il le dit tout le temps mais ne le fait jamais. Tu devrais arréter de croire ce que ton frère raconte. Il ne dit jamais la vérité.
-Mais qu'est-ce que je vais faire? J'ai prévenu tes parents et ils sont partis. Ils vont croire que je leur ai fait une plaisanterie de mauvais gout! Il vont m'en vouloir...
-Non, ne t'inquiètes pas Asuka, tu n'as que onze ans après tout, répondit Manato avec un tont railleur.
-Arrètes de te moquer de moi! Tu n'as que deux ans de plus que moi! Tu n'es pas plus intélligent que moi! Et je suis sure que tu aurais cru Shuro... répondit Asuka, visiblement véxée.
-Je ne t'en veux pas, ne t'inquiètes pas, dit Manato qui ne voulait pas se disputer avec Asuka. bon, c'est quoi mon cadeau d'anniversaire? J'espère que ça va me plaire!
-C'est ça, lui dit Asuka.
Elle se rapprocha de Manato et déposa sur ses lèvres un baiser tendre qui les réchauffa tout les deux. Après un instant, Asuka se retira et Manato ne pu dire qu'un mot: "Merci"
CHAPITRE 1
-Asuka! Je t'interdis de le voir! Tu n'as pas le droit!
-Comment ça "je n'ai pas le droit"? J'ai presque 16 ans! Tu ne peux plus faire de moi ce que tu veux. C'est fini, je ne crois plus à tes mensonges Shuro, j'ai passé l'age!
-Je t'interdis de le voir, sinon...
-Sinon, quoi? Tu bruleras sa maison? J'en ai assez!
Sur ces mots, Asuka tourna le dos à son frere Shuro et partit en prenant bien soin de claquer la porte derrière elle. Elle resta assise sur son lit pendant un long moment. Elle était si énervée qu'elle n'arrivait même pas à pleurer. Elle ne pouvait s'empécher de penser à Setsuna et à ce qu'elle lui avait dit.
-Je pense que Manato est amoureux de toi, lui confia-t-elle.
-Qu'est-ce que tu racontes? répondit Asuka apparemment très génée. C'est impossible, nous sommes des amis d'enfance, il... non c'est impossible!
-Mais il m'a dit que vous vous étiez déjà embrasser, réenchérie Setsuna.
-C'était il y a quatre ans, je n'était qu'une enfant et puis... et puis c'est tout!
-Si tu le dis, mais tu devrais quand même lui en parler, écoute moi, ta meilleure amie!
Asuka brulait d'envie de savoir si Manato éprouvait des sentiments spéciaux à son égard. Mais elle ne pourrait jamais lui demander, il se moquerait d'elle. elle même ne savait plus ce qu'elle éprouvait pour lui. Il y avait seulement quelques jours, l'amité les unissait, mais aujourd'hui, quelle était leur relation.? Elle aurait tout le temps de lui poser la question demain, pres du lac. Ce même lac où elle avait, il y a quatre ans, embrassé Manato. Après ce baiser, elle éclata de rire en voyant son meilleur ami devenir rouge écarlate. Aujourd'hui encore, à chaque fois qu'on le lui demandait, il répondait que son plus beau cadeau lui avait été offeryt près d'un lac, il y a quatre ans. On avait beau insister, il ne révélait jamais ce que c'était et qui lui avait offert. Il voulut offrir à Asuka le même cadeau qu'il avait recu de sa part, mais il n'y parvint jamais, la trouvant trop jeune pour cela. Elle avait à présent 15 ans et était dotée d'une beautée banale mais exeptionnelle aux yeux de Manato. Elle avait des cheveux long, noirs et de grands yeux vert. C'était peut etre là son charme. Elle était asez petite par rapport à lui mais elle, cela ne la dérangeait pas. Manato, du haut de ses 16 ans et demi, était grand, brun et avait les yeux bleu ciel. Toutes les filles de son lycée étaient secretement éprisent de lui. Asuka et lui n'allaient pas dans le même lycée. Manato était dans un lycée publique: il n'avait pas les moyens d'aller ailleurs. Asuka, elle, était inscrite dans un lycée privé pour jeune fille. Elle venait d'une famille très aisée. C'est pour cela que Shuro ne voulait pas la voir en compagnie de Manato: ils n'étaient pas du "même monde". Elle voyait donc Manato en cachette, près du lac. Ni son frere, ni ses parents étaient au courant.
On frappa à la porte.
-Asuka? C'est moi, je peux entrer? demanda Shuro.
-Non, vas-t-en! Je ne veux pas te voir, c'est compris?
-Mais...
-C'est compris? cria Asuka!
Shuro donna un violent coup dans la porte et s'éloigna. S'il y avait bien une personne qu'elle ne voulait absolument pas voir, c'était bien Shuro...
Le lendemain matin, Asuka se réveilla tôt. Elle avait mal dormit et était fatiguée. Elle descndit prendre son petit déjeuner, ne pouvant plus dormir. A son grand étonnement, son père était là.
-Papa! s'écria-t-elle. Que fais tu là?
-Bonjour ma princesse, comment vas tu? Shuro n'est pas à la maison?
A l'écoute du nom de son frere, Asuka fit une grimmace. Elle aurait voulut qu'il ne soit pas là.
- Sa va bien merci. Shuro doit encore dormir, cela ne m'étonnerait pas. Il est si...
-Stop!coupa son père. Tu t'es enncore disputée avec lui, n'est ce pas?
- Oui, avoua Asuka. Mais c'est lui! Il ne veut pas que je vois Manato, il n'a pas le droit de me l'interdire! J'ai presque 16ans!
-En parlant de Manato, commenca son pere, Shuro a raison. Tu ne devrait pas le fréquenter. Tu sais vous n'ètes pas du meme milieu. Vous ne pouvez pas vous permettre...
-Toi aussi tu t'y met? coupa sechement Asuka. Je pensais que tu étais plus indulgent. Tu sais Manato et moi ne sommes pas du meme mileu et alors? Tu ne peux pas...
-Je t'interdis de le voir! cria son pere. Les gens comme lui ne sont pas dignes de confiance. Des aujourd'hui tu vas arreter de le fréquenter et tu verras des personnes de ton milieu. Est-ce clair?
-Mais Papa, tu ne peux pas me forcer!
-Est-ce clair? hurla son pere.
-Je te deteste! Tu n'es qu'un pauvre monstre sans coeur! cria Asuka dont les larmes ruisselaient sur son visage.
Elle quitta la pièce en courant. Elle entendait son pere lui crier des choses mais elle n'arrivait pas à les entendre. Elle compris quelques mots comme "le fils du roi", "marige" et "traitre". Elle se rua à l'exterieur. Un soleil radieux était déjà levé. La matinée avait déjà bien commencé. Elle courrut longtemps, ne croisant personne sur son chemin. Quand elle arriva pres du lac, il n'y avait personne. Elle aurait voulut que Manato soit là. Ce n'était pas le cas. Elle s'arretta et resta immobile sur un rocher au bord de l'eau. elle en voulait à son pere. Il ne voulait plus qu'elle voit Manato. son pere était le consultant du rooi du pays. Il été admiré de tous. Asuka pensait qu'il la comprendrait mais ce n'était pas le cas. Il était de l'avis de Shuro. Elle ne s'était jamais disputée de cette façon avec son pere. Elle ne pouvait pas rentrer à la maison maintenat, elle était encore trop énervée.
-Que fais-tu là? lui demanda une voix familiere.
Asuka sursauta. Devant elle se tenait Manato. Il était si grand, elle ne s'en était jamais apercu de cette facon. Il lui souriait et elle, elle ne pouvait s'empécher de pleurer. Il s'approcha d'elle et vit alors ses larmes. son sourir devint alors réconfortant, il s'assit alors sur le rocher sur lequel Asuka été assise. Il ne savait pas ce qu'il devait dire. Il la prit dans ses bras et les sanglots de son amie ne firent que redoubler. Elle pleurait à cause de son pere, de Shuro et aussi à cause d'elle meme. Elle se sentait si faible dans les bras de Manato. Ils resterent ainsi longtemps. Soudain, Asuka se défit de l'étreinte de Manato et pris la parole.
-On ne peux plus se voir, lui dit-ele, la voix tramblante. Je suis désolée.
-Qu'est ce que tu racontes? Que se passe-t-il? répondit Manato, inquiet.
-Mon pere ne veut plus que l'on se voit. Il veut que j'épouse le fils...du roi.
Elle se remit à pleurer. Manato le reprit alors dans ses bras. il ne pouvait pas croire qu' Asuka allait se marier avec Takeshi. Il était si... diférent de lui.
-Ne t'inquietes pas, dit Manato qui voulait réconforter Asuka. Ni ton pere, ni Shuro ni qui que se soit ne pourra m'empécher de te voir. Tu ne dois pas t'en faire.
-Il veut que je l'épouse, sanglota Asuka. Mais moi, je ne veux pas. Je ne veux épouser personne. Je...
Manato l'embrassa. Elle se sentit alors rassurée. Elle voulait rester comme ça le plus longtemps possible. Un feu doux brulait dans son ventre. Elle n'aurait voulu qu'il ne s'érretes pour rien au monde. Elle était paisible dans ses bras. Les levres de Manato sur les siennes étaient douces et agréables. Asuka avait perdue tous ses reperes. Elle oublia son pere, Shuro, Takeshi. Il ne restait plus qu'elle et celui qui l'embrassait. Puis Manato se leva brusquement.
-Je suis désolé, lui dit-il. Il faut que... il faut que j'y aille.
Il commença a faire demi-tour. Asuka se leva à son tour et murmura d'une voix quasi-innaudible: "reste". Manato se retourna et regarda Asuka. Elle avait tellement changé. Elle était si... belle aujourd'hui. Elle avait beau pleurer, Manato la trouvait résplandissante.
Ils resterent silencieux un long moment. Asuka décida enfin à prendre la parole.
-Setsuna disait donc vrai, tu épprouves des sentiments differents à mon égar. Je crois qu emoi aussi.
- Mais on ne peux pas Asuka, interrompit Manato. Tu n'as pas le droit de me voir et tu es déstinée à épouser Takeshi. Ton pere a peut-etre raison, on ne devrait peut-etre plus se voir.
-Quoi? Mais c'est absurde Manato! Je te connais depuis que j'ai 7 ans, on ne peux pas ne plus se voir! Je refuse de faire cette concéssion!
-Tu devrais pourtant accepter, répondit la voix d'un homme. C'est ce qu'il y a de mieux pour toi.
Elle se retourna et sursauta. Devant elle se tenait Takeshi.
Voila! je suis en train d'écrire la suite....
Little Hachi- Membre
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nouvelle
Voila nous en seconde il nous avez demander d'écrire une nouvelle.Voici la mienne (c'est un peu long)
L'inceste
Il était seize heure, on était dimanche ; calcul fait j’étais à l’heure .Je pris le petit escalier qui descendait à la cuisine, pour traverser encore deux pièces pour arriver au salon où m’attendait Mr Langlois a qui je louai une chambre. Quand j’arrivai il me fit un signe de la main, je m’assis comme j’en avais l’habitude dans le fauteuil en velours rouge. J’admirai ses meubles du 17ème siècle, ils étaient blanchis et gonflés par le soleil. Sur le buffet était posé un vase avec trente- trois roses dedans, pour commémorer la mort de sa femme, Pauline. Pendant vingt ans il éleva ses deux enfants seuls avec l’aide d’une nourrice .L’un de ses autres meubles était une grande armoire où il y rangeait sa vaisselle On pouvait y trouver des carafes à eau, à vin ou encore à alcool et différentes sortes de verres ; pour les différents types de boissons. Il collectionnait surtout les flûtes à champagne, il en possédait de toutes formes et datant de toutes époques. Le samedi soir, il prenait plaisir à les dépoussiérer .Quelquefois je descendait et l’aidais. Depuis trois ans que je louais une chambre chez lui, on avait sympathiser il m’invitait même quelquefois dans un restaurant chic. Je me sentais gêné car je ne pouvais lui offrir que de menus services. De temps en temps, il partait à la chasse avec ses amis et le lendemain il venait me voir à ma boucherie pour que je lui dépièce ses prises. Je le faisais avec grand plaisir car il me laissait toujours une de ses prises et la peau des autres .Il me disait souvent que j’en tirerais un bon prix et cela était vrai. Cela m’arrangeait beaucoup pour arrondir mes fins de mois .Et cela me permettait de prendre quelques jours de congé.
Une seule chose me perturbait, c’est pourquoi me donnait-il autant ? Je ne représentais rien pour lui ; j’aurai pu être son petit fils. Je n’ai rien en commun avec lui enfin, je pense. Il est vrai que je n’ai jamais connu mon grand-père paternel. Serait-il possible qu’il fusse être mon grand-père. NON ! Je ne le pense pas. Pour être fixé il me suffirait de lui demander. Mais comment lui demander ? Comment entrer dans le sujet ? Je n’oserais point, j’ai beaucoup de respect pour lui je lui dois tant. Et si je me trompai ?et si j’avais raison ? Que se passerait-il après ? Je décidai de mener ma petite enquête sur Mr Roger Langlois.
Durant les deux mois qui suivirent ma réflexion j’essayai de trouver des renseignements sur sa famille. Mais au bout de ces deux mois je n’en savais pas beaucoup plus sur lui que ce que j’en avais appris en trois ans.
Devrait-je me décider à lui parler ou continuer à vivre dans l’ignorance ? Ma nature plutôt curieuse me poussait à lui parler, mais cela me gêne de devoir e questionner. Mais je devais pourtant agir. Je me décidai donc à lui parler, mais il fallait trouver les mots justes et le moment propice. Dans deux jours ce serai dimanche je profiterai donc de ce moment hebdomadaire pour lui adresser mes lacunes et mes soupçons. Ce vendredi soir je m’entraînais devant ma glace. J’essayai de trouver les mots juste, je réussi à trouver quelques phrases ni trop directes, mais qui ne tournent pas autour du sujet.
Voilà, dimanche arriva, je descendis comme à mon habitude au salon et servi le café puis j’entamais la conversation, avec grande politesse, plus grande que d’habitude.
-« Comment vous portez vous aujourd’hui Mr Langlois ? »
Il me répondit d’une voix calme cependant parsemée de petit toussotement car il avait attrapé un rhume il y a quelques jours.
-« Très bien merci, mon rhume est presque fini. Je vous trouve anxieux. Qu’avez-vous mon cher ? »
Il avait le don de toujours me mettre mal à l’aise. Mais puisqu’il me le demandait autant que je lui demande.
-« Oui en effet j’ai une question qui reste sans réponse depuis quelques temps. Je ne vais pas tourner autour du pot. Alors voici ma question : Pourquoi me donnez vous tant ? Qui êtes vous pour moi ? »
Là je n’eus même pas l’impression qu’il était gêné, il me répondit d’un air naturel comme s’il connaissait déjà la question.
-« Il y a deux questions là. Mais ce n’est pas grave je vais tâcher de vous y répondre. »
J’avais les yeux fixés sur ses lèvres, j’étais impatient depuis le temps que j’attendais la réponse. Il continua de parler.
- Moi non plus je ne tournerai pas autour du pot, d’abord je ne comprends pas votre première question. Qu’est ce que je vous donne ? Ensuite pour vous je suis votre propriétaire et un de vos clients je ne vois rien d’autre.
-« Vous ne me comprenez pas ! Depuis que je vous loue cette chambre vous m’avez donné du travail, vous m’avez invité au restaurant plusieurs fois et tant d’autres choses encore. Pourquoi ? Vous m’invitez tous les dimanches chez vous pour boire le café. Pourquoi ? Par politesse ? Non je ne le crois pas alors pourquoi ? Je ne m’en plain pas car cela ne me dérange point. Mais qu’est ce qu’un homme de votre statut social qui est disons le assez élevé-il était directeur de banque- fait avec un simple boucher comme moi. Franchement je ne vous comprends pas.
-Mais cela est très simple, je vous admire, je vous respect. Et est–il aussi curieux qu’un propriétaire invite son locataire qui est aussi son ami au restaurant ?
-Oui cela est curieux, je vous aime bien, vous êtes sympathique drôle et intelligent. Je suis d’accord avec vous que des amis peuvent s’inviter au restaurant ; mais ça ne doit pas être toujours le même qui invite ça doit être un échange.
-Mais c’est un échange, vous m’apporter quelque chose.
-Je serai curieux de savoir ce que je vous apporte. A part peut-être de la compagnie.
-Oui, c’est vrai, mais vous m’apporter autre chose aussi.
-Ah oui, et quoi donc ?
-Bon, vu que nous sommes bien entrés dans cette conversation. Il faut que je vous dise. Mais promettez- moi de ne pas vous fâcher.
-Ah voilà nous entrons enfin dans le vif du sujet. Je vous écoute. Je vous en prie.
-Promettez moi d’abord de ne pas vous fâcher quoi que je vous dise.
-Serait-ce si fâcheux ce que vous avez à me dire ? Bon comme je suis impatient je vous le promet, mais sachez que cela ne me plait guère.
-Bon, maintenant, il faut que je vous avoue… . Non je ne peux pas.
-Allez voyons c’est si compliquer que ça à dire.
-Bon très bien mais sachez que ce n’est pas facile à dire. Voilà je…je vous aime. Mais plus qu’en tant que simple ami. Ne m’en veuillez pas. J’ai tout de suite été attiré par vous quand je vous ai vu. Je ne pensai pas être bisexuel avant. Mais apparemment je le suis. Je sais que je suis plutôt vieux que je pourrai être votre grand-père, mais s’il vous plait, comprenez-moi et ne m’en veuillez pas. Je me sens soulagé d’un lourd fardeau. Cette conversation m’a fait du bien.
-Attendez si je vous comprends bien, vous êtes amoureux entre guillemets de moi. Ai-je bien compris ?
-Oui vous avez compris. Qu’en dîtes vous?
-Laissez-moi un peu de temps. Pour me remettre de mes émotions. »
Que devais-je faire ? Que devais-je dire ? C’est vrai pour son âge, il paraissait encore bien. Mais est-ce bien ? C’est contraire à ma religion chrétienne. Dieu nous a crée homme et femme pour que nous vivions ensemble dans la bonne entente. Il nous a crée pour procréé. Il n’a pas dit qu’on devait vivre entre espèce du même sexe. Mais si l’amour entre même sexe existe, il ne faut pas le mettre de coté. On n’ai sur terre par la volonté du Seigneur, mais qui nous a obligé à respecter ses commandements puisqu’Il nous a crée libre. Je prends donc aujourd’hui la décision d’enfreindre ses règlements et de suivre mon cœur.
Avais-je pris la bonne décision? Pourtant au fond de moi, j’avais un mauvais pressentiment. Mais le cœur a ses raisons que la raison ignore.
-« J’ai bien réfléchi et moi aussi au fond de mon cœur j’ai une attirance pour vous.
-Je suis content que vous me disiez ça. Ca me touche énormément. Et qui sais peut-être vivrons nous la plus belle histoire d’amour que personne n’ait jamais connue.
-Cela est très romantique. Et si nous commencions maintenant ?
-Vous ne perdez pas de temps vous au moins. J’ai un lit à baldaquin montons-y. »
Là je vous passerai ce moment de folie amoureuse.
Après trois heures intense, il m’annonça qu’il avait oublié de me dire qu’un de ses amis arrivai demain à huit heure et demi à la gare du Nord.
-« Combien de temps va-t-il rester ?
-Son train de retour pour Marseille est dans six jours. Mais il habite à Aix-en-Provence.
-Aix-en-Provence mais je connais bien j’ai vécu quelques années avec mon frère là-bas.
-Voilà qui est bien, vous aurez un point commun. J’ai hâte de vous présenter Antoine. »
Antoine, Antoine ce nom me disais quelque chose.
Le lendemain matin nous partîmes pour la gare du Nord. A huit heures quarante le train en provenance de Marseille arriva en gare. Nous avions rendez-vous devant l’horloge. Nous attendîmes cinq minutes et nous vîmes se diriger vers nous un grand jeune homme blond, l’air joyeux. Là, je remarqua que Roger n’avait pas bouger ce n’était donc sûrement pas Antoine. On resta encore à attendre un quart d’heure puis l’homme qui attendait à coté me demanda :
-« Bonjour, nous sommes bien à la gare du Nord ? Car j’ai rendez-vous avec mon grand-père mais je ne vois pas.
-Oui vous êtes bien à la gare du Nord. Nous attendons aussi quelqu’un. Comment vous appelé vous ?
- Antoine, Antoine Duval.
- Antoine Duval ! Tu ne me reconnais donc pas ?
-Devrais-je monsieur ?
-Mais oui bien- sûr tu devrai, c’est moi Guy, Guy Duval.
-Guy mon frère mais que fais tu ici ? Je suis content de te revoir. »
Moi aussi j’étais content. Pendant ce temps de retrouvailles Roger vint dire bonjour à Antoine. Mais pourtant Antoine a dit qu’il attendait son grand-père ; sachant que moi je suis son frère son grand-père c’est aussi le mien. Comment cela est-il possible ? Comment ai-je pu ? Ou plutôt comment a-t-il pu ? Pendant le voyage, Roger parla à Antoine mais je ne sais de quoi, j’avais autre chose en tête. En un quart d’heure nous étions à la maison de Roger Langlois.
Arrivés dans le salon, Roger montra la chambre qu’Antoine occuperait pendant son séjour. Puis il laissa Antoine s’installer et redescendit dans le salon où je l’attendais. Je lui fis signe de s’asseoir, il m’obéit et s’assit calmement dans le fauteuil en velours rouge. Puis il attendit sans poser de question.
« Vous ne savez pas de quoi je vais m’entretenir avec vous là par hasard ? » dis-je d’un ton sec. Il me regardait comme un chien qu’on voulait emmener à la fourrière.
-« Très bien, je vais vous le dire moi. Vous m’avez menti et bien pire humilié.
-Je vous ai menti ?
-Oui, vous m’aviez dit que pour moi vous n’étiez que mon propriétaire et mon client mais vous avez oublié de me dire que vous étiez mon grand-père. Vous le saviez n’est-ce pas ? Pourquoi m’avez-vous fait cela ? Pourquoi ? Mais pourquoi donc ? Qu’est-ce que je vous ai donc fait ? Vous ne m’aviez pas dit qu’Antoine était votre petit fils si vous ne l’avez pas dit c’est que vous saviez que j’était son frère. Ai-je raison ?
-Oui, j’avoue. Vous avez raison. Je savais que j’étais votre grand-père.
-Vous le saviez, alors pourquoi m’avoir fait subir tous cela. Rendez-vous compte que vous venez de commettre un inceste ! Cela ne vous fait rien vous agissez que pour votre simple service, vous êtes orgueilleux. Je vous ai. »
Là je n’attendis même pas qu’il me répondit et j’allai m’enfermer dans ma chambre. J’attendis le soir vers minuit, pour sortir de ma chambre et aller grignoter un peu à la cuisine car je n’avais presque pas mangé de la journée. Pour remonter dans ma chambre je devais passer devant celle de Roger, là il me vint une idée ; je remontai dans ma chambre et ouvrit le coffre où j’avais l’habitude de ranger mes couteaux de boucher. Je pris le plus grand et alla vers la chambre de monsieur Langlois. J’ouvris délicatement la porte et je m’introduisis près de son lit. Je le regardai dormir on aurait dit qu’il était déjà mort. Je n’eus aucune pitié pour lui et lui donna un fort coup en dessous de l’abdomen. Puis un dans le cœur et un autre là où il le méritait le plus. Ensuite je le découpa en morceau et mis les morceaux de son misérable corps sous les planches de sa chambre. Je ne pouvais pas laisser mon frère dans cette histoire. Je me décidai d’aller dans sa chambre et de le tuer lui aussi, au lieu d’être profondément endormi, il dormait que d’un œil et poussa un grand cri quand je lui enfonçais la pointe du couteau dans la poitrine. Je décidai de le découper lui aussi et de le cacher sous le plancher de la chambre de Roger avec Roger.
Je ne sus trop comment trois heures après la police arrivait. Ils fouillèrent la maison et en entrant dans la chambre de Roger ils virent du sang, l’inspecteur tout de suite alerté monta pour me questionner sur l’endroit où était le corps de ce pauvre Roger Langlois. Je trouvais qu’il était bien là où il se trouvait en ce moment. Je décidai donc de ne rien dire aux inspecteurs enfin ils ne le sauront pas tout de suite. Le seul problème, c’est que le plafond n’était pas très étanche et au rez-de-chaussée on voyait au plafond des taches rouges. C’est dommage ! L’un des policiers vint voir l’inspecteur et lui dit qu’il y avait un problème c’est qu’on avait recueilli douze doigts de pieds pour l’instant. L’inspecteur se tourna vers moi et me demanda combien de personne était sous ce plancher. Je lui répondis directement deux car ils le sauraient de toute manière. J’en avait assez je voulais en finir. On me jugea coupable, un peu normal.
Je fus condamné la prison à perpétuité enfin presque cinquante-cinq ans avec six ans de sursis. La prison au début cela peut être avantageux car on est nourri, habillé et logé. Mais c’est la misère. On est à environ trois par cellule. Pour nous divertir, il nous donne des sortes de récréations. On travaille aussi, on gagne un peu d’argent grâce à ce travail. La plupart s’en servent pour s’acheter des cigarettes. Moi je ne m’en servait pas je le gardais et c’est tout. Je fus très vite lassé par cette vie monotone, j’étudiais tous les recoins de ces prisons mais rien aucun moyen de fuir. Tous les jours étaient pour moi comme un enfer. Je ne voyais plus les jours passer. Au bout de quatre ans j’en eus assez et je me suicidai le 17 juin 1853.
L'inceste
Il était seize heure, on était dimanche ; calcul fait j’étais à l’heure .Je pris le petit escalier qui descendait à la cuisine, pour traverser encore deux pièces pour arriver au salon où m’attendait Mr Langlois a qui je louai une chambre. Quand j’arrivai il me fit un signe de la main, je m’assis comme j’en avais l’habitude dans le fauteuil en velours rouge. J’admirai ses meubles du 17ème siècle, ils étaient blanchis et gonflés par le soleil. Sur le buffet était posé un vase avec trente- trois roses dedans, pour commémorer la mort de sa femme, Pauline. Pendant vingt ans il éleva ses deux enfants seuls avec l’aide d’une nourrice .L’un de ses autres meubles était une grande armoire où il y rangeait sa vaisselle On pouvait y trouver des carafes à eau, à vin ou encore à alcool et différentes sortes de verres ; pour les différents types de boissons. Il collectionnait surtout les flûtes à champagne, il en possédait de toutes formes et datant de toutes époques. Le samedi soir, il prenait plaisir à les dépoussiérer .Quelquefois je descendait et l’aidais. Depuis trois ans que je louais une chambre chez lui, on avait sympathiser il m’invitait même quelquefois dans un restaurant chic. Je me sentais gêné car je ne pouvais lui offrir que de menus services. De temps en temps, il partait à la chasse avec ses amis et le lendemain il venait me voir à ma boucherie pour que je lui dépièce ses prises. Je le faisais avec grand plaisir car il me laissait toujours une de ses prises et la peau des autres .Il me disait souvent que j’en tirerais un bon prix et cela était vrai. Cela m’arrangeait beaucoup pour arrondir mes fins de mois .Et cela me permettait de prendre quelques jours de congé.
Une seule chose me perturbait, c’est pourquoi me donnait-il autant ? Je ne représentais rien pour lui ; j’aurai pu être son petit fils. Je n’ai rien en commun avec lui enfin, je pense. Il est vrai que je n’ai jamais connu mon grand-père paternel. Serait-il possible qu’il fusse être mon grand-père. NON ! Je ne le pense pas. Pour être fixé il me suffirait de lui demander. Mais comment lui demander ? Comment entrer dans le sujet ? Je n’oserais point, j’ai beaucoup de respect pour lui je lui dois tant. Et si je me trompai ?et si j’avais raison ? Que se passerait-il après ? Je décidai de mener ma petite enquête sur Mr Roger Langlois.
Durant les deux mois qui suivirent ma réflexion j’essayai de trouver des renseignements sur sa famille. Mais au bout de ces deux mois je n’en savais pas beaucoup plus sur lui que ce que j’en avais appris en trois ans.
Devrait-je me décider à lui parler ou continuer à vivre dans l’ignorance ? Ma nature plutôt curieuse me poussait à lui parler, mais cela me gêne de devoir e questionner. Mais je devais pourtant agir. Je me décidai donc à lui parler, mais il fallait trouver les mots justes et le moment propice. Dans deux jours ce serai dimanche je profiterai donc de ce moment hebdomadaire pour lui adresser mes lacunes et mes soupçons. Ce vendredi soir je m’entraînais devant ma glace. J’essayai de trouver les mots juste, je réussi à trouver quelques phrases ni trop directes, mais qui ne tournent pas autour du sujet.
Voilà, dimanche arriva, je descendis comme à mon habitude au salon et servi le café puis j’entamais la conversation, avec grande politesse, plus grande que d’habitude.
-« Comment vous portez vous aujourd’hui Mr Langlois ? »
Il me répondit d’une voix calme cependant parsemée de petit toussotement car il avait attrapé un rhume il y a quelques jours.
-« Très bien merci, mon rhume est presque fini. Je vous trouve anxieux. Qu’avez-vous mon cher ? »
Il avait le don de toujours me mettre mal à l’aise. Mais puisqu’il me le demandait autant que je lui demande.
-« Oui en effet j’ai une question qui reste sans réponse depuis quelques temps. Je ne vais pas tourner autour du pot. Alors voici ma question : Pourquoi me donnez vous tant ? Qui êtes vous pour moi ? »
Là je n’eus même pas l’impression qu’il était gêné, il me répondit d’un air naturel comme s’il connaissait déjà la question.
-« Il y a deux questions là. Mais ce n’est pas grave je vais tâcher de vous y répondre. »
J’avais les yeux fixés sur ses lèvres, j’étais impatient depuis le temps que j’attendais la réponse. Il continua de parler.
- Moi non plus je ne tournerai pas autour du pot, d’abord je ne comprends pas votre première question. Qu’est ce que je vous donne ? Ensuite pour vous je suis votre propriétaire et un de vos clients je ne vois rien d’autre.
-« Vous ne me comprenez pas ! Depuis que je vous loue cette chambre vous m’avez donné du travail, vous m’avez invité au restaurant plusieurs fois et tant d’autres choses encore. Pourquoi ? Vous m’invitez tous les dimanches chez vous pour boire le café. Pourquoi ? Par politesse ? Non je ne le crois pas alors pourquoi ? Je ne m’en plain pas car cela ne me dérange point. Mais qu’est ce qu’un homme de votre statut social qui est disons le assez élevé-il était directeur de banque- fait avec un simple boucher comme moi. Franchement je ne vous comprends pas.
-Mais cela est très simple, je vous admire, je vous respect. Et est–il aussi curieux qu’un propriétaire invite son locataire qui est aussi son ami au restaurant ?
-Oui cela est curieux, je vous aime bien, vous êtes sympathique drôle et intelligent. Je suis d’accord avec vous que des amis peuvent s’inviter au restaurant ; mais ça ne doit pas être toujours le même qui invite ça doit être un échange.
-Mais c’est un échange, vous m’apporter quelque chose.
-Je serai curieux de savoir ce que je vous apporte. A part peut-être de la compagnie.
-Oui, c’est vrai, mais vous m’apporter autre chose aussi.
-Ah oui, et quoi donc ?
-Bon, vu que nous sommes bien entrés dans cette conversation. Il faut que je vous dise. Mais promettez- moi de ne pas vous fâcher.
-Ah voilà nous entrons enfin dans le vif du sujet. Je vous écoute. Je vous en prie.
-Promettez moi d’abord de ne pas vous fâcher quoi que je vous dise.
-Serait-ce si fâcheux ce que vous avez à me dire ? Bon comme je suis impatient je vous le promet, mais sachez que cela ne me plait guère.
-Bon, maintenant, il faut que je vous avoue… . Non je ne peux pas.
-Allez voyons c’est si compliquer que ça à dire.
-Bon très bien mais sachez que ce n’est pas facile à dire. Voilà je…je vous aime. Mais plus qu’en tant que simple ami. Ne m’en veuillez pas. J’ai tout de suite été attiré par vous quand je vous ai vu. Je ne pensai pas être bisexuel avant. Mais apparemment je le suis. Je sais que je suis plutôt vieux que je pourrai être votre grand-père, mais s’il vous plait, comprenez-moi et ne m’en veuillez pas. Je me sens soulagé d’un lourd fardeau. Cette conversation m’a fait du bien.
-Attendez si je vous comprends bien, vous êtes amoureux entre guillemets de moi. Ai-je bien compris ?
-Oui vous avez compris. Qu’en dîtes vous?
-Laissez-moi un peu de temps. Pour me remettre de mes émotions. »
Que devais-je faire ? Que devais-je dire ? C’est vrai pour son âge, il paraissait encore bien. Mais est-ce bien ? C’est contraire à ma religion chrétienne. Dieu nous a crée homme et femme pour que nous vivions ensemble dans la bonne entente. Il nous a crée pour procréé. Il n’a pas dit qu’on devait vivre entre espèce du même sexe. Mais si l’amour entre même sexe existe, il ne faut pas le mettre de coté. On n’ai sur terre par la volonté du Seigneur, mais qui nous a obligé à respecter ses commandements puisqu’Il nous a crée libre. Je prends donc aujourd’hui la décision d’enfreindre ses règlements et de suivre mon cœur.
Avais-je pris la bonne décision? Pourtant au fond de moi, j’avais un mauvais pressentiment. Mais le cœur a ses raisons que la raison ignore.
-« J’ai bien réfléchi et moi aussi au fond de mon cœur j’ai une attirance pour vous.
-Je suis content que vous me disiez ça. Ca me touche énormément. Et qui sais peut-être vivrons nous la plus belle histoire d’amour que personne n’ait jamais connue.
-Cela est très romantique. Et si nous commencions maintenant ?
-Vous ne perdez pas de temps vous au moins. J’ai un lit à baldaquin montons-y. »
Là je vous passerai ce moment de folie amoureuse.
Après trois heures intense, il m’annonça qu’il avait oublié de me dire qu’un de ses amis arrivai demain à huit heure et demi à la gare du Nord.
-« Combien de temps va-t-il rester ?
-Son train de retour pour Marseille est dans six jours. Mais il habite à Aix-en-Provence.
-Aix-en-Provence mais je connais bien j’ai vécu quelques années avec mon frère là-bas.
-Voilà qui est bien, vous aurez un point commun. J’ai hâte de vous présenter Antoine. »
Antoine, Antoine ce nom me disais quelque chose.
Le lendemain matin nous partîmes pour la gare du Nord. A huit heures quarante le train en provenance de Marseille arriva en gare. Nous avions rendez-vous devant l’horloge. Nous attendîmes cinq minutes et nous vîmes se diriger vers nous un grand jeune homme blond, l’air joyeux. Là, je remarqua que Roger n’avait pas bouger ce n’était donc sûrement pas Antoine. On resta encore à attendre un quart d’heure puis l’homme qui attendait à coté me demanda :
-« Bonjour, nous sommes bien à la gare du Nord ? Car j’ai rendez-vous avec mon grand-père mais je ne vois pas.
-Oui vous êtes bien à la gare du Nord. Nous attendons aussi quelqu’un. Comment vous appelé vous ?
- Antoine, Antoine Duval.
- Antoine Duval ! Tu ne me reconnais donc pas ?
-Devrais-je monsieur ?
-Mais oui bien- sûr tu devrai, c’est moi Guy, Guy Duval.
-Guy mon frère mais que fais tu ici ? Je suis content de te revoir. »
Moi aussi j’étais content. Pendant ce temps de retrouvailles Roger vint dire bonjour à Antoine. Mais pourtant Antoine a dit qu’il attendait son grand-père ; sachant que moi je suis son frère son grand-père c’est aussi le mien. Comment cela est-il possible ? Comment ai-je pu ? Ou plutôt comment a-t-il pu ? Pendant le voyage, Roger parla à Antoine mais je ne sais de quoi, j’avais autre chose en tête. En un quart d’heure nous étions à la maison de Roger Langlois.
Arrivés dans le salon, Roger montra la chambre qu’Antoine occuperait pendant son séjour. Puis il laissa Antoine s’installer et redescendit dans le salon où je l’attendais. Je lui fis signe de s’asseoir, il m’obéit et s’assit calmement dans le fauteuil en velours rouge. Puis il attendit sans poser de question.
« Vous ne savez pas de quoi je vais m’entretenir avec vous là par hasard ? » dis-je d’un ton sec. Il me regardait comme un chien qu’on voulait emmener à la fourrière.
-« Très bien, je vais vous le dire moi. Vous m’avez menti et bien pire humilié.
-Je vous ai menti ?
-Oui, vous m’aviez dit que pour moi vous n’étiez que mon propriétaire et mon client mais vous avez oublié de me dire que vous étiez mon grand-père. Vous le saviez n’est-ce pas ? Pourquoi m’avez-vous fait cela ? Pourquoi ? Mais pourquoi donc ? Qu’est-ce que je vous ai donc fait ? Vous ne m’aviez pas dit qu’Antoine était votre petit fils si vous ne l’avez pas dit c’est que vous saviez que j’était son frère. Ai-je raison ?
-Oui, j’avoue. Vous avez raison. Je savais que j’étais votre grand-père.
-Vous le saviez, alors pourquoi m’avoir fait subir tous cela. Rendez-vous compte que vous venez de commettre un inceste ! Cela ne vous fait rien vous agissez que pour votre simple service, vous êtes orgueilleux. Je vous ai. »
Là je n’attendis même pas qu’il me répondit et j’allai m’enfermer dans ma chambre. J’attendis le soir vers minuit, pour sortir de ma chambre et aller grignoter un peu à la cuisine car je n’avais presque pas mangé de la journée. Pour remonter dans ma chambre je devais passer devant celle de Roger, là il me vint une idée ; je remontai dans ma chambre et ouvrit le coffre où j’avais l’habitude de ranger mes couteaux de boucher. Je pris le plus grand et alla vers la chambre de monsieur Langlois. J’ouvris délicatement la porte et je m’introduisis près de son lit. Je le regardai dormir on aurait dit qu’il était déjà mort. Je n’eus aucune pitié pour lui et lui donna un fort coup en dessous de l’abdomen. Puis un dans le cœur et un autre là où il le méritait le plus. Ensuite je le découpa en morceau et mis les morceaux de son misérable corps sous les planches de sa chambre. Je ne pouvais pas laisser mon frère dans cette histoire. Je me décidai d’aller dans sa chambre et de le tuer lui aussi, au lieu d’être profondément endormi, il dormait que d’un œil et poussa un grand cri quand je lui enfonçais la pointe du couteau dans la poitrine. Je décidai de le découper lui aussi et de le cacher sous le plancher de la chambre de Roger avec Roger.
Je ne sus trop comment trois heures après la police arrivait. Ils fouillèrent la maison et en entrant dans la chambre de Roger ils virent du sang, l’inspecteur tout de suite alerté monta pour me questionner sur l’endroit où était le corps de ce pauvre Roger Langlois. Je trouvais qu’il était bien là où il se trouvait en ce moment. Je décidai donc de ne rien dire aux inspecteurs enfin ils ne le sauront pas tout de suite. Le seul problème, c’est que le plafond n’était pas très étanche et au rez-de-chaussée on voyait au plafond des taches rouges. C’est dommage ! L’un des policiers vint voir l’inspecteur et lui dit qu’il y avait un problème c’est qu’on avait recueilli douze doigts de pieds pour l’instant. L’inspecteur se tourna vers moi et me demanda combien de personne était sous ce plancher. Je lui répondis directement deux car ils le sauraient de toute manière. J’en avait assez je voulais en finir. On me jugea coupable, un peu normal.
Je fus condamné la prison à perpétuité enfin presque cinquante-cinq ans avec six ans de sursis. La prison au début cela peut être avantageux car on est nourri, habillé et logé. Mais c’est la misère. On est à environ trois par cellule. Pour nous divertir, il nous donne des sortes de récréations. On travaille aussi, on gagne un peu d’argent grâce à ce travail. La plupart s’en servent pour s’acheter des cigarettes. Moi je ne m’en servait pas je le gardais et c’est tout. Je fus très vite lassé par cette vie monotone, j’étudiais tous les recoins de ces prisons mais rien aucun moyen de fuir. Tous les jours étaient pour moi comme un enfer. Je ne voyais plus les jours passer. Au bout de quatre ans j’en eus assez et je me suicidai le 17 juin 1853.
Lucky- MembrActif
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Nombre de messages : 357
Age : 33
Localisation : Lyon
Date d'inscription : 08/12/2006
Re: Il était une fois...
Oulalala Lucky, ton histoire est...boulversante! Elle m'a captivé et quand la fin est arrivée je me suis dit "déjà?". En tout cas, félicitation, c'est tres bien! Au fait, tu as eu quele note pour ce travail?
Little Hachi- Membre
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Age : 33
Date d'inscription : 30/08/2006
Re: Il était une fois...
J'ai adoré les 2 histoires
alors Lucky t'as eu combien???
Little Hachi j'attend la suite avec impatience euh ne nous fais pas comme chouk lol donne nous vraiment la suite
alors Lucky t'as eu combien???
Little Hachi j'attend la suite avec impatience euh ne nous fais pas comme chouk lol donne nous vraiment la suite
Mediwest- Ta gueule!! Je t'aime!!
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Localisation : sous le soleil des antilles
Date d'inscription : 31/08/2006
Re: Il était une fois...
T'inquiete pas Mediwest la suite chui en train de l'écrire!! Pfff c'est que j'ai plein d'inspiration!!! Bientot fini le deuxieme chapitre!! Dans une semaine je pense!!
Little Hachi- Membre
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Nombre de messages : 191
Age : 33
Date d'inscription : 30/08/2006
Re: Il était une fois...
J'avais eu 16 pour ce travail!!
Et ma prof avait beaucoup apprécié^^
Et ma prof avait beaucoup apprécié^^
Lucky- MembrActif
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Nombre de messages : 357
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Localisation : Lyon
Date d'inscription : 08/12/2006
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